La rénovation

En 1808, dans le cadre de l’organisation des consistoires israélites, Clermont-Ferrand devient une communauté officielle, dirigée par Israël Waël qui donne un jardin pour établir un cimetière juif.

La communauté juive de Clermont, grâce au legs d’Aimée-Andrée Lévy, s’installe rue Blatin et crée le Centre culturel Jules-Isaac

La synagogue est vendue à un groupe franc-maçon qui modifie profondément l’édifice ; le mobilier est transporté rue Blatin, l’arche sainte sauvegardée par la famille Epstein.

L’ancienne synagogue se trouvant à nouveau en vente, grâce à l’action de Mme Edgar Abravanel, un mécène Edmond Safra, achète l’édifice et le remet à la Communauté. Commence alors un long processus de sauvegarde qui passe par l’inscription à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2006, après un refus en octobre 1992.

Récupération d’une partie de l’armoire sainte (sauvegardée par la famille Epstein) qui a été entreposée en pièces détachées dans la synagogue.

Les représentants des collectivités territoriales et des institutions juives définissent les contours du projet tant pour la restauration du site que pour l’aspect culturel.

Inscription du bâtiment à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques y compris les meubles d’origine qui ont été transférés au Centre Communautaire Israélite de la rue Blatin.

La DRAC donne son accord sur le projet découpé en 4 tranches et s’engage à le subventionner offrant ainsi la possibilité de solliciter le financement des collectivités territoriales.

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